- Le tableau de bord qui sert à concentrer
l’attention des collaborateurs sur un écran unique d’où il pourra
accéder à l’ensemble des informations, services et applications qui lui
sont utiles au quotidien (sous forme d’indicateurs, de raccourcis ou
d’alertes). C’est en quelque sorte un Netvibes d’entreprise (ou un Portaneo qui est un équivalent open source) ; - Le profil du collaborateur qui va lui permettre de
contextualiser et de personnaliser l’information mais également l’accès
aux différents services. Ce profil sera également le point de départ
(et d’arrivée) de l’ensemble de l’activité sociale du collaborateur
(quelque chose à mi-chemin entre Facebook et LinkedIn) ; - Le mécanisme d’authentification qui va lui permettre d’avoir un accès complet ou restreint aux applications internes, partagées ou externes (l’équivalent d’un OpenID mais en plus robuste) ;
- Les filtres seront particulièrement utiles pour ne
pas le noyer sous une masse d’information. Ils pourront être
individuels (en fonction de critères définis par le collaborateur) ou
collaboratifs (en fonction de critères et paramètres communs à un
groupe d’utilisateurs ciblés) ; - Le moteur de recherche sera enfin un outil essentiel pour pouvoir accéder à la fameuse business-critical information.
Ce moteur pourra être sémantique (fonctionnant à partir d’un
thésaurus), empirique (auto-apprenant comme l’index de Google) ou
social (utilisant de tags et de systèmes de notation) ; ou pourquoi pas
les trois (comme le propose CoReap).
source : http://www.fredcavazza.net/